Pour la fraternité entre tous les guadeloupéens

Publié le par Ary Broussillon

Notre Guadeloupe est depuis quelques années secouée par des conflits sociaux à répétition. Il s’agit le plus souvent de conflits du travail, où on a l’impression que les protagonistes tiennent des discours parallèles, incapables qu’ils sont de s’entendre et donc de se comprendre. Il y a ici, dans notre pays, un vrai problème de dialogue social ; une vraie problématique de la négociation sociale qui exige que TOUS les concernés (patrons, salariés, inspection du travail, Conseil des Prud’hommes, élus, Etat…) s’engagent pour la prévention des conflits et la rénovation du dialogue social.

Il semble qu’il y ait chez nous une vraie culture de la grève, relativement ancienne d’ailleurs, mais qui prend de plus en plus une tournure raciale. Depuis le début du syndicalisme en Guadeloupe à la fin du XIXème siècle, jusqu’à la fin des années

1990, jamais les tensions de ce type n’avaient été aussi vives.

Il est clair que la crise sociale, caractérisée notamment par un chômage et une précarité endémiques, constitue un terreau fertile pour tous les excès et tous les extrémismes. Cette crise fait le lit de tous les ressentiments. Elle ravive des blessures, rouvrent des cicatrices et provoque des cris, de grandes colères et des outrances verbales.

Il faut AGIR au plus vite. Il faut agir impérativement. Il faut agir coûte que coûte !

 

Pour lire la suite… Fraternité Fraternité

 

 

 

 

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